Interview du chef de la section chasse-pêche: «Ces attaques nous préoccupent». Cette réflexion est de la mauvaise foi; on peut être préoccupé, pour moins que ça! Démographes, biologistes, écolos et toute une «faune» ignorante prônent une Suisse à 10 millions d’habitants, (mitage du territoire déjà trop exigu) que l’on cohabite avec le lynx, l’ours, le renard, le bison et bien-sûr, le loup.
Informé par la presse je cite «Le loup fait son travail, le berger n’a qu’à faire le sien» «Nous devons nous habituer à vivre avec». Belle mentalité! A tous ces donneurs de leçons «Il n’y a qu’à installer des clôtures efficaces» il faut vite leur mettre entre les mains une barre à mine, une masse et… «au boulot».
Un troupeau quel qu’il soit, si il est traqué, poursuivi, les clôtures n’existent plus; pour le reste de l’estivage, ces bêtes sont sur leur garde…
Questions N°1: Pourquoi nos anciens avaient-ils réussi à l’éradiquer?
N°2: Le loup a-t-il un prédateur?
N°3: Qui renseigne ses pseudo-protecteurs du lieu des tirs de régulation? Conclusion: Le loup n’a rien a f… chez nous;
Ce n’est pas à nos éleveurs de lui fournir sa nourriture et au prix d’atroces souffrances.
Jacques Albiez
Aubonne