Mesdames, Messieurs, Chers lectrices et Chers lecteurs,
Lors de la pandémie de 2020, Monsieur Daniel KOCH, ancien fonctionnaire fédéral appelé Monsieur Coronavirus, s’était exprimé en novembre 2021 pour dire que c’était «mieux de se faire vacciner par conviction et non par obligation». Il a reconnu fin 2023 avoir entraîné la Suisse dans une grave dérive de vaccins contre le virus et s’en était excusé. A l’époque interrogé sur la condition d’une levée du certificat Covid, l’ancien fonctionnaire fédéral avait répondu qu’il s’agissait d’une question de politique et non d’épidémiologie.
Aujourd’hui, l’OMS voudrait entraîner les citoyens suisses dans une dérive médicale tout aussi grave.
L’OMS négocie actuellement deux accords avec ses États membres : le nouvel accord sur les pandémies et les modifications du Règlement sanitaire international (RSI). Ces deux accords doivent être adoptés dès la fin mai 2024 à l’occasion de l’Assemblée mondiale de la santé.
Avec ces deux accords, l’influence de l’OMS sur la Suisse se verrait considérablement étendue et ses recommandations contraignantes pour tous les États membres. Article 1 du RSI. Cela concernerait des mesures telles que l’injonction de suivi des contacts, les restrictions d’accès et les preuves de vaccination. Article 18 du RSI.
« Une seule santé » pour le directeur de l’OMS, sans que les autorités des États concernés aient leur mot à dire ou participent à la prise des décisions. Article 12 du RSI. Cette extension de pouvoir en faveur du directeur général de l’OMS serait d’autant plus abusive, car pas soumise à une instance de contrôle indépendante, ni responsable, ni tenu de rendre des comptes. Cela rendrait impossible une protection efficace des droits FONDAMENTAUX en Suisse et de la Constitution Fédérale. L’OMS revendique un droit hégémonique concernant l’ensemble des mesures sanitaires. Article 13A du RSI. La menace de l’introduction d’un certificat de vaccination numérique mondial plane également.
En juin 2023 un accord a été conclu avec l’UE et l’OMS. Un accord de coopération en vue de la création d’un réseau mondial de certification des vaccins. Il deviendrait alors IMPOSSIBLE pour la Suisse d’examiner et de mettre en œuvre des solutions démocratiques de manières indépendante si l’OMS venait à organiser d’autres mesures. Il serait impossible aux États membres de lutter contre les informations fausses et trompeuses. cf. article 18 de l’article sur les pandémies et article 44 du RSI. L’OMS déciderait des traitements et on pourrait craindre de voir des scientifiques ayant des postures médicales critiques ou des personnes d’opinion différente se faire exclure du débat public ou même de la prévention sanitaire. Cela s’appelle de la dictature et constitue une violation majeure de la liberté d’expression et de la liberté scientifique, ainsi qu’une perte des droits à l’information du peuple suisse, relative à notre santé.
Tandis que le nouvel accord sur les pandémies est soumis à une procédure nationale de débats et de ratification, cela n’est pas le cas pour le RSI (Règlement sanitaire international). Le RSI – selon la définition de l’OMS- à valeur de l’esprit de la prescription sanitaire selon l’article 21 de la constitution de l’OMS. Ce qui veut dire qu’un automatisme se mettrait en place. Que ces modifications radicales entrent automatiquement en vigueur au 1er juin 2025, après le vote qui se tiendra fin mai 2024, SANS que le peuple suisse puisse avoir voix au chapitre, ni puisse prendre part à la décision. A moins que la Suisse S’OPPOSE EXPLICITEMENT à ces modifications dans un délai de 10 MOIS suivant leur adoption, soit fin mars 2025.
Dans les faits, ces accords contournent notre Constitution suisse et menacent TOUS ses fondements, à savoir sa souveraineté, sa liberté démocratique, son État de droit et les droits de l’homme. Malheureusement, le Conseil fédéral n’a pas communiqué rapidement et de façon claire et critique le peuple suisse sur la possible extension du pouvoir de l’OMS et ses dangers pour la Suisse et sa population. Inadmissible !
C’est pour cela que je fais parvenir l’URGENT COMBAT de FUTUR.CH
par voie de presse. Des cartes « NON » à ces projets de traités avec l’OMS sont disponibles sur
www.futur-ch.ch. Pour être signées et adressées à Madame La Présidente de la Confédération Viola AMHERD. Merci de bien vouloir vous attarder et soutenir cette ACTION de Futur.CH.
Bénédicte Borel
VOICI CE QUE LA FONDATION FUTUR.CH Winterthur écrit :
« Fin mai 2024, le nouveau traité international sur les pandémies et les amendements du Règlement sanitaire international seront soumis au vote de l’Assemblée mondiale de la santé. S’ils sont adoptés, ils auront de lourdes conséquences pour la Suisse et ses citoyens
• L’influence que l’OMS pourra exercer sur les États membres sera nettement plus forte dans la mesure où les recommandations de l’organisation deviendront contraignantes. Les États seront obligés de mettre en Œuvre immédiatement toutes les mesures et recommandations de l’OMS.
• La liste des raisons pour lesquelles le directeur général de l’OMS pourra déclarer une pandémie ou une urgence sanitaire de portée internationale sera considérablement rallongée grâce à de nouveaux concepts fondamentaux (par exemple « Une seule santé »), sans que les États concernés aient leur mot à dire.
• En outre, ces traités ne prévoient pas de mécanismes de contrôle pour permettre aux États de vérifier la légitimité des mesures ordonnées pendant une pandémie déclarée par l’OMS. Par conséquent, il n’y aura pas d’équilibre des pouvoirs, pas de freins ni de contrepoids, et aucune possibilité de correction. Dès lors, il sera impossible de protéger efficacement les droits fondamentaux garantis en Suisse et sa Constitution.
• Le renforcement du pouvoir et des compétences du directeur général de l’OMS prévu par ces traités est tout aussi grave étant donné que ce dernier ne relèvera d’aucun organe de contrôle indépendant et ne sera pas tenu de rendre des comptes.
• L’OMS exige un droit exclusif de prise de décisions concernant toutes les mesures sanitaires (telles que le confinement, la vaccination, etc.) dès qu’il s’agit, de son point de vue, d’une urgence sanitaire de portée internationale ou d’une pandémie. L’instauration d’un certificat international de vaccination se profile également. Il sera par conséquent impossible pour la Suisse de mettre en œuvre ses propres solutions de manière indépendante.
• Les États membres s’engageront à lutter contre les informations « fausses » et « trompeuses » sur les risques sanitaires. En définitive, c’est donc l’OMS qui décidera de ce qui doit être déclaré vrai ou faux. Il s’agit d’une violation flagrante de la liberté d’opinion et de la liberté scientifique. »
Alors envoyez la carte de protestation ci-contre pour exiger l’arrêt de ces projets de traités avec l’OMS ! Disponible sur www.futur-ch.ch
Merci.
Bénédicte Borel