Quand est-il de l’avenir de nos petits commerces?
Le village du Brassus devient-il vraiment une zone industrielle et juste un couloir de passage?
Démuni de sa poste, de sa boulangerie, de sa boucherie et pour accentuer le tout cet été de ses places de parking.
Nous sommes depuis plusieurs semaines les otages d’une mauvaise gestion de calendrier.
Autrement, comment nous expliquer cette volonté de supprimer toutes possibilités de se parquer au Brassus.
Nous avons la fâcheuse constatation de ne plus pouvoir accueillir notre clientèle habituelle et les gens de passage.
Les petits déjeuners et les cafés du matin on enregistre une baisse de 50%.
C’est une dure réalité et une situation bien gênante que de répondre aux personnes fâchées qui nous téléphonent parce qu’elles doivent rebrousser chemin après avoir fait trois fois le tour du village.
Aujourd’hui nous devons accuser le coût de ce désordre et ne comprenons pas pourquoi au moment de l’installation du théâtre le village a privatisé des places (petit détail, elles étaient les bienvenues pour les gens à mobilité réduite), pourquoi quelques jours après le parking de l’église fermait pour les travaux.
N’y avait-il pas un moyen de décaler toutes ces démarches?
Cela aurait évité 3 choses
- Votre village sans parking
- Vos commerces sans recettes
- Vos clients sans retour
Cette lettre est aussi un mot d’excuses pour nos clients qui ont subi ce problème et nous espérons pouvoir de nouveau les accueillir correctement.
Les petits commerçants du Brassus:
Chez Lily restaurant,
Babou macaron
Ma petite épicerie, la laiterie,
Le kiosque, The burgerland