Oui, l’activité humaine influe sur le climat, qu’elle soit nécessaire ou stupide !
1er exemple : la tonte du gazon. L‘herbe et les petits végétaux, tout comme les arbres, fixent beaucoup de CO2 grâce à la photosynthèse par l’énergie diffusée par le soleil.
Pour avoir voulu snober le gazon des riches colons anglais et leurs propriétés, on a décidé, à l’aide de tondeuses thermiques ou électriques, toutes 2 dégageant de la chaleur et du bruit pour supprimer les fleurs naturelles et contribuer ainsi à la disparition des abeilles et d’autres oiseaux et insectes.
Donc, en coupant l’herbe, on prive le captage du CO2. Pire, les UV et autres rayonnements solaires stérilisent la terre moins bien ombragée, alors qu’une herbe plus haute maintient l’humidité du sol et contribue à régulariser la température !
Le gazon tondu n’est rien d’autre qu’un triste désert vert, hostile au reste de la vie et au climat.
Autre habitude évitable : le tabagisme. On estime que près d’un milliard de cigarettes brûlent en permanence, tout autour de notre planète, dégageant chacune plusieurs centaines de degrés: donc : 4 à 500 milliards de degrés, non seulement superflus, mais au détriment du climat et, accessoirement, de la santé des fumeurs.
Ceci n’est qu’une partie de la chaleur émise, car il faut sécher et mélanger le papier spécial des embouts de cigarettes avec diverses énergies, électrique, thermique, sinon le papier se désintégrerait sur les lèvres ! Non les cigarettes ne se fabriquent pas dans votre magasin ou au distributeur, mais subissent de longs transports, par route ou par avion et sont parfois stockées dans des endroits régulés, climatisés.
En conclusion : Dans notre Parc naturel du Jura vaudois changeons et faisons changer des comportements irréfléchis et néfastes au climat avant d’imposer de nouvelles taxes à chacun !
Gilbert Magnenat