La rédactionCarole Dubois
Carole Dubois est âgée de 58 ans, mariée, mère de 3 enfants de 30, 29 et 27 ans, habitant L’Orient. Elle a fait toutes ses classes au Sentier, puis est allée au gymnase à Yverdon et à l’école cantonale de laborantines et laborantins médicaux à Lausanne. Après avoir exercé son métier à l’Universität Spital de Zurich, puis dans un laboratoire privé de Genève, elle est revenue avec son mari vivre au Brassus en 1990.
En 2004, elle crée avec son époux Pierre l’entreprise Pierre DeRoche. Et, pour ce faire, reprend une formation en communication et marketing. Actuellement elle dirige l’entreprise, sise au Lieu.
Profondément attachée à sa région, elle fait partie du Conseil communal du Chenit depuis décembre 2005. Très rapidement impliquée dans les affaires communales, elle a été membre du bureau, présidente de la commission des finances et a présidé le Conseil communal en 2015-2016.
Elue à la Municipalité en 2016, puis réélue en 2021, elle est en charge du dicastère de l’aménagement du territoire, police des constructions et Présidente de la commission du Service du Feu. Les dossiers importants à traiter dans le cadre de ce dicastère demandent une connaissance approfondie des enjeux régionaux et cantonaux. Le double mandat politique, exécutif communal couplé au législatif cantonal, qu’elle exerce actuellement lui permet d’avoir une vision pointue de la politique cantonale et un réseau important qu’elle met à disposition de la Commune du Chenit et de la Vallée de Joux.
Elue en 2017 députée au Grand Conseil Vaudois, elle a présidé le groupe parlementaire PLR de 2019 à 2021. Sa position de députée lui a permis de relayer les préoccupations de notre région au niveau cantonal, via des commissions et des dépôts parlementaires. Tout particulièrement et dernièrement, suite à la fermeture de l’office des impôts de La Vallée, un postulat qui demande au Conseil d’Etat de présenter au Grand Conseil une stratégie de déploiement d’un service public accessible à toutes les régions du canton.
Membre du comité de la Fondation R&F Grohe depuis 2005, elle en est la présidente depuis 2015. Cette fondation, active dans le maintien à domicile, joue un rôle important dans la politique sanitaire régionale. Cette implication dans le milieu de la santé, preuve en est son premier métier, a toujours été une constante importante dans sa vie. Après avoir siégé au comité directeur des Etablissements Hospitaliers du Nord Vaudois et à la commission de santé publique du Grand Conseil, elle a été élue à la présidence de la Fédération des Hôpitaux Vaudois, mandat qu’elle exerce depuis avril 2021.
Volontaire, efficace et à l’écoute, elle est prête à mettre toute son énergie à poursuivre le travail en cours et relever les défis importants qui se profilent pour la nouvelle législature. En continuant à lui accorder votre confiance vous lui permettrez de continuer à s’investir pour notre région et notre canton, pour les citoyennes et citoyens de notre Vallée de Joux, si précieuse pour elle.
Christophe Bifrare
Christophe Bifrare est âgé de 48 ans, marié, père de 2 filles de 11 et 13 ans, habitant Le Pont. Après un passage au gymnase qui devait être la suite logique du cursus mis en place et qui ne donna aucune satisfaction, c’est à l’Ecole des Métiers de Lausanne que les vocations sont apparues dans un premier temps avec l’obtention du CFC de mécanicien électricien et d’une maturité. Puis dans la foulée, l’école d’ingénieur d’Yverdon en section microtechnique option mesures et commandes. Une fois diplômé, l’envie de gagner sa vie se faisant sentir, c’est en qualité d’agent de méthodes que la vie professionnelle commence, mais rapidement l’envie de ne pas en rester là s’installe et la découverte de l’horlogerie aidant, l’opportunité de reprendre le chemin des études s’impose. C’est donc une formation postgrade en cours d’emploi et un second titre d’ingénieur en construction horlogère qui couronneront 3 années supplémentaires de cours et de sacrifices, ainsi que l’intégration du bureau technique de l’entreprise. Métier qu’il pratique depuis une vingtaine d’années toujours pour la même manufacture.
Depuis la prime enfance, la vie associative et sociétale s’impose avec un cadre de vie et des parents actifs. Ces sociétés qui sont les poumons de nos communes. C’est donc naturellement que les comités, sociétés et multiples activités inhérentes deviennent le quotidien d’un gars hyperactif, jonglant entre la course à pied, l’athlétisme, le volleyball, les pompiers, la jeunesse, la société de tir, la fanfare, le tambour, le hockey, la batterie et bien d’autres, puis depuis 17 ans, le théâtre amateur avec l’équipe du Cabaret de la Tranchée. Cette mise en avant, entraînant également bon nombre de sollicitations à rejoindre des comités d’organisations de manifestations, de major de table, de présidences, allant de la manifestation villageoise à des fêtes cantonale et fédérale.
Fort de cette expérience et plein de reconnaissance, il était temps de rendre à la société ce qu’elle lui avait offert. Quoi de mieux que démarrer une vie politique en intégrant le Conseil général du village et le Conseil communal. Rapidement, les mandats sont tombés, présidence du bureau de vote, présidence de la commission de recours, présidence de la commission de gestion, présidence du Conseil communal, puis l’entrée à la Municipalité. Mandat qui ne durera que quelques mois, car entré en fin de législature, la question de la syndicature s’est rapidement posée suite à la décision de l’élu en place à ne pas reconduire sa candidature. Après quelques discussions sur une nouvelle réorganisation familiale et professionnelle, voilà déjà 6 ans à la tête de l’administration générale, des finances, de l’aménagement du territoire, du tourisme, de la promotion économique et de l’énergie.
C’est donc en toute logique, aussi à l’aise sur un tracteur sur les Grands-Champs, derrière les fourneaux, à faire boucherie, qu’à un congrès PLR, attaché à ses racines, sa région et ses habitants que la suite passe par une candidature au Grand Conseil, convaincu d’être un atout certain pour représenter et défendre les intérêts des Combières et des Combiers auprès des instances Cantonales.