La rédactionQuelle surprise en me promenant dans le village du Brassus… de découvrir ce que j’avais aperçu voler au-dessus de ma tête, transporté par un hélicoptère.
Je le savais fou, mais pas à ce point! Oui, quand je l’ai vu, j’ai tout de suite pensé au lapin dans l’histoire d’Alice au pays des merveilles. Dans le cas présent, il n’a pas de gilet mais porte une montre et donne l’impression d’être pressé, très pressé et j’ai même eu l’impression de l’entendre dire: «En r’tard, en r’tard J’ai rendez-vous que’que part Je n’ai pas le temps de dire au revoir Je suis en r’tard, en r’tard.»
Je me suis dit: mon imagination me joue des tours… Va atterrir la tortue qui va lui glisser à l’oreille: «Rien ne sert de courir, il faut partir à point!» Donc, cela serait une fable, une fable de Jean de la Fontaine. J’ai cherché mais je ne l’ai pas trouvée… la tortue. Cependant, j’ai vu à quel point à cette heure-là, Le Brassus n’est pas une merveille… un flux de voitures presque incessant traversait le village.
Ce village qui a passablement changé et qui va encore passablement changer…Du moment qu’il change…ne pourrions-nous pas, gentiment proposer à toutes les entreprises de la Vallée de venir s’installer là… au Brassus. Ils pourraient ainsi profiter, du cours d’eau du même nom, pour y créer une centrale hydraulique en plus des panneaux
solaires. Cela va de soi. (Le ministre de l’Economie Guy Parmelin appelle les entreprises à se préparer dès maintenant à la pénurie d’électricité.)
Pour compenser l’empreinte carbone, nous pourrions nous offrir… le pourtour du lac sans voiture.
Une grande partie de La Vallée sans voiture… quelle idée?! Nous deviendrions comme Zermatt, Wengen, Saas-Fee…
Réchauffement climatique et pandémie, deux sujets brûlants pour la survie de l’humanité
COP26: Guy Parmelin promet que la Suisse fera «sa part» contre le réchauffement. Alors, un peu de concret:
– Pourquoi ne pas associer au pass sanitaire, un pass empreinte carbone à utiliser lors de nos achats. Nous pourrions utiliser de l’énergie jusqu’à concurrence d’une certaine quantité (à définir par individu et pour un certain laps de temps en accord avec la confédération) et
sitôt la marge atteinte, un signal nous serait donné pour économiser et un stage nous serait proposé. A la manière du permis à points français.
– Nos restaurants, notre cinéma, nos lieux culturels, notre médiathèque et nos bibliothèques, notre ludothèque, notre Centre sportif sont devenus bien malgré eux des lieux de contrôles: pass sanitaire et carte d’identité.
Monologue dans un de ces lieux: Bonjour Monsieur. Ma femme me dit qu’elle vient souvent dans votre établissement avec son amie… Mais je me méfie, je pense plutôt qu’il s’agit de son ami voire de son amant?
Regardez, voici la photo de ma femme. Pourriez-vous contre rémunération bien sûr… Lors de son prochain passage, identifier la personne l’accompagnant et me donner son nom et prénom. C’est facile pour vous, du moment que vous contrôlez sa carte d’identité!
Vous savez, grâce à vous, je fais l’économie d’un détective. Alors merci.
C.RoYer