Biologiste moléculaire de formation, Alex Mauron a été professeur de bioéthique à la Faculté de médecine de Genève (professeur honoraire depuis 2015) et fondateur de l’Institut Ethique Histoire Humanités de cette Faculté. L’interdisciplinarité entre sciences naturelles et sciences humaines a été au centre de son activité professionnelle. Entant par ailleurs amateur d’astronomie depuis l’enfance, les relations entre la plus ancienne des sciences naturelles et la culture font naturellement partie de ses réflexions.
Alex Mauron a été membre de la Commission nationale suisse d’éthique en médecine ainsi que du Conseil suisse de la science et de la technologie. Retraité, il vit au Solliat.
Dès la préhistoire, l’humanité a acquis des connaissances astronomiques qui ont laissé des traces archéologiques. Celles-ci étaient liées à la nécessité d’établir un calendrier des travaux agricoles et avaient certainement aussi une dimension rituelle. Dans les civilisations de l’Antiquité, la connaissance du ciel, avec ses implications religieuses et politiques, était une source d’inspiration des premiers textes littéraires. La Grèce antique y ajouta un souci philosophique de compréhension globale du monde, qui accompagnera le développement de l’astronomie jusqu’à aujourd’hui. Ce lien permanent entre astronomie et culture concerne la philosophie, mais aussi la littérature, les arts visuels et la musique.
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Connaissance 3