Que va-t-il se passer tout soudain?
Le port du masque pendant de longues heures est-il, à part son effet protecteur COVID-19, si innocent que cela en a l’air? Personnellement il me semble que non? Parce qu’en portant un masque bien ajusté, il est impossible que notre air expiré soit 100% expulsé au travers du masque vers l’extérieur! Dans le cas contraire l’inspiration suivante comportera immanquablement une partie d’air vicié. En chiffres: une inspiration c’est 79,40% d’azote, 20,93% d’oxygène et 0,03% de gaz carbonique, alors que l’expiration c’est 79,70% d’azote, 16% d’oxygène et 4,30% de gaz carbonique (valeurs moyennes) donc la respiration a entraîné une production de gaz carbonique (normal). Selon une étude, le masque porté est rapidement saturé par la condensation de l’expiration, donc on inhale forcément une petite partie d’air vicié, ceci à raison d’une moyenne de 16 respirations à la minute soit env. 960 à l’heure, donc en fin de compte à chaque inspiration on a subi une légère «intoxication»,… et au fil des heures, peut-être une possibilité de sentiment de malaise? Il y a là une question et une réponse!
On constate de plus en plus de personnes marquées au visage par des masques mal adaptés ou mal réglés, les élastiques coupant la circulation du sang, mais plus conséquent hélas, et sans véritables réponses: les visages à la peau sensible sont désormais marqués de boutons ou d’acné, et là visiblement, prochainement il y aura beaucoup de travail pour les dermatologues, y compris pour les mains et les avant-bras en excédent de désinfectant, et cela pose des questions en attentes de réponses. Le télétravail est un grand plus pour ne pas porter de masque, mais provoquera un distancement social supplémentaire et un manque d’activité physique certain.
Que penser de tous les «enfermés» dans des bureaux, locaux, magasins, entreprises, hôpitaux, cabinets médicaux en tous genres, etc. qui vont immanquablement subir les tonnes de désinfectant en tous genres et styles, car tous ces produits, à part le savon, sont hyper volatiles et hautement inflammables en plus. J’ai entendu un médecin confronté au port du masque, entre ses allers et retours entre son cabinet, le secrétariat, et ses autres locaux de travail, dire que les fins de journées étaient relativement pénibles de par l’arrivée des patients désinfectés par «mille produits», et cela pose aussi quelques questions sur les immanquables mélanges odorants.
Que penser de cette multitude de produits évaporés qui s’en iront dans un premier temps «désinfecter» les climatiseurs et leurs canalisations, pour finir où? Questions,… et la réponse,…dans la nature qui va devoir encore une fois se charger d’accepter ce nouveau don humain lâché en très grandes quantités, les oiseaux se régaleront d’insectes anesthésiés. Un test sur une mouche dans un bocal,… 15 minutes de survie! Là est la question.
Ultime question: Quelle sera la conséquence de cet apport de multi-produits sur la nature qui n’a surtout pas besoin de cette masse désinfectante envahissante des temps «modernes»! Quels seront les effets sur le long terme lorsque l’on sait les énormes méfaits des antibiotiques qui passent outre les stations d’épuration de la Planète et qui finissent dans les rivières, les fleuves et au final dans les mers, puis absorbés par les poissons, eux mangés par les humains. Au final, le cycle des antibiotiques est «inusable!» Les désinfectants à coup sûr aussi. Là, chaque question n’a aucune réponse, chaque réponse amenant une question! Que vont devenir ces tonnes de désinfectant une fois «libérés?» Les maladies de peau sont aux aguets et en embuscade, les gens perdront un peu d’immunité, les poumons en prendront leur dose, c’est une certitude et une réponse au final.
Moralité: A CHAQUE PROBLÈME IL Y A UNE SOLUTION, MAIS IL NE FAUT PAS QUE LA SOLUTION AMÈNE UN PROBLÈME, et actuellement on ne peut pas faire beaucoup mieux dans le genre. Je n’ai pas de réponse et encore moins de question à poser.
IMPORTANT: Ne pensez surtout pas que je suis contre toutes ces mesures, bien au contraire de par leur indispensabilité, mais j’en évalue les risques potentiels en me posant bien des questions.
MERCI BEAUCOUP: Je remercie sincèrement nos autorités politiques fédérales, cantonales, communales, sanitaires, et tous ceux qui ont pris soin de nous pour nos courses jusqu’au
11 mai, ainsi que tous ceux qui ont fait «fonctionner» cette machine mécaniquement grippée en ayant dû prendre de lourdes décisions devenues par la force des événements rapidement contradictoires parfois. Et il y en aura encore à prendre, car comme je l’ai mentionné, le COVID-19 ne sera rien à côté du marasme qu’il va provoquer. Le distancement social laissera de profondes traces ineffaçables pendant des années tout comme le chômage qui grimpe en flèche avec ses ravages dans la durée, il faudra désormais faire avec un énorme changement de notre façon de PENSER et de nous GÉRER!
Partout on entend parler de licenciements, fermetures potentielles, faillites en perspectives, les sociétés locales et sportives aussi, le monde des spectacles, partout les adaptations et modifications des espaces, les longues files d’attente, un temps beaucoup plus long pour beaucoup d’activités, des transports sursaturés par l’espace perdu, tout cela surtout dans les grandes agglomérations et un peu moins à la Vallée de Joux, tout cela additionné de la suspicion que l’autre pourrait être infecté, on assiste même à une nouvelle forme d’agressivité entre les pour et les contre, le doute s’est durablement installé entre les diverses stratégies à appliquer en fonction des diverses idéologies incompatibles.
L’AVENIR DU PRÉSENT: Partout on va tester pour voir, histoire de savoir ce qui va ressurgir autrement, différemment, tout en ayant encore une fois un profond doute sur le résultat. Comme je l’ai écrit dernièrement, sur ma façon de voir, «même si certains n’ont pas compris la subtilité», LA RELANCE au final ne se fera que par une succession d’ajustements «techniques» sur notre «montre haute
technologie grandes complications» avec de nombreux revers lors du montage, et même, certains retours «en arrière», Le banc d’essais final est encore très éloigné, peut-être même que le produit fini ne ressemblera pas du tout au projet initial, notre économie actuelle en est à ce point-là, hélas pour nous tous, victimes du Made in China, ce que nous savons tous «en cachette», un peu partout en Suisse, sûrement jusqu’à Berne? Et c’est gagné, la suprématie en est à ce point-là. Qui va reprendre nos entreprises en déroute? Là est la plus grande et la plus sournoise des questions! Le 11 mai devenu une date très importante pour effectuer les premiers réglages pour une reprise de type inconnu jusqu’à ce jour: un pays qui se remet en marche avec plein d’incertitudes, et des questions qui doivent trouver une réponse!
Toujours et encore des questions sans réponses et encore des réponses qui provoquent des questions, et ça n’est pas terminé. On est tous unis mais bien démunis, ça va durer, et pour certains, la précarité en devenir!…
PRENEZ SOIN DE VOUS ET TENEZ BON.
Une pensée particulière à Erika pour le départ de Jacques Reymond, son époux victime du COVID-19, et toutes les personnes actuellement dans un deuil.
Signé:
Claude-André Depallens,
entre Nyon et La Vallée