FÉLICITATIONS Mesdames, et bravo pour le magnifique article paru dans la FAVJ dans le courrier du lecteur du jeudi 30 avril, signé Corinne Rochat & Valott et ce «direct» du 25 avril 2030!
Dans un premier temps je n’avais pas fait attention à la décennie habilement placée même dans le titre, et ne comprenais de ce fait pas tout,…? Normal!
Plein de réalités et vérités, intéressant à lire, mais hélas avec quelques omissions de cette année 2030, elles ne sont pas des moindres, comme par exemple l’augmentation de la population planétaire fixée à 7’781’090’035 habitants à exactement à 10h28 ce 3 mai 2020, et combien à cette date en 2030, il suffit de consulter «Worldomètre» qui nous démontre cet hallucinant chiffre absolument en direct et temps réel!… et en cette année 2030,… combien,…?
10 milliards? 12 milliards?… plus? Donc en cette année-là, garder les
2 mètres de «sécurisation» sera bien impossible! Nous ferons du coude à coude, avec certitude avec le COVID-29.
Et que dire du côté des ONDES? On sera sûrement à la 33 G,… et l’on pourra cuire ses aliments fabriqués à partir de molécules, directement au bord de la route, voire même dans n’importe quelle pièce de nos appartements, tout cuira rapidement, et il n’y aura plus aucun effet d’ONDES sur les cerveaux humains grillés à tout jamais et remplacés par l’ordinateur. On se souvient en effet qu’il y a 10 ans le plus puissant IBM avait la capacité de 2’000’000 de PC, le nouveau modèle version 2030 a pris le pouvoir total, l’esclave humain n’a plus besoin de penser à quoi que ce soit! Il n’a même plus de travail, à part quelques basses besognes que l’ordinateur ne veut pas exécuter.
2030, les forêts du Risoux? Des arbres secs remplacés au fil du temps par des antennes en attente de la 34 G,…!
On aura inventé les nouveaux pneus toutes saisons pour rouler sur «goudron mouvant» surchauffé. Les voitures 100% électriques auront fait construire en urgence 4 centrales nucléaires d’un nouveau type.
En cette année 2030, le Lac de Joux est en cours d’évaporation, le fond du Brenet est atteignable à pied et l’on peut désormais passer jusqu’à Vallorbe par les grottes.
Les premières vendanges des Côteaux «D’La Dent d’Vaulion» ont cette fois égalé celles de Lavaux avec une cuvée de grande qualité, et un grandiose millésime qui étonne les spécialistes jusqu’au fin fond du Valais!
Au Pont les palmiers sont déjà en fleur en ce mois d’avril, car l’hiver a de nouveau été très chaud.
A L’Abbaye, le canon à neige d’époque, mais bien entretenu sert désormais à ventiler la Vallée de Joux.
Un morceau de glace récolté sur le lac de Joux en hiver 2018 est désormais conservé au musée d’histoire naturelle de Lausanne, il fait l’objet de beaucoup de convoitises de par son extrême rareté. Il a été placé au final en sécurité dans un coffre-fort de la Banque Nationale en manque de liquidités depuis 2020.
La meute de loups partie pour des régions plus froides a été remplacée par une meute de fennecs du désert arrivés à pas feutrés comme le loup un certain 7 janvier 2014?
Le Parmelin et sa phrase d’anthologie «oreiller de paresse» se fond de tristesse et se trouve en pleine détresse bien couché sur son sommier de la fortune engrangée au cours des ans, et laisse un souvenir de Vaudois maladroit à montrer du doigt. 2030 ne l’aura même pas oublié, une telle phrase ne peut que laisser durablement la morosité s’installer, un petit sourire de coin.
Bref, j’ai adoré la subtilité de votre article et vous félicite, tout en nous souhaitant à toutes et tous que le
COVID-19 ne trouve pas une alternative encore plus forte de nous rappeler une fois encore que la Planète nous a été prêtée et mise à notre disposition pour que l’on s’en occupe avec
ATTENTION et RESPECT. Là l’humanité s’est royalement plantée et continue de se planter, avec une manière peu courtoise d’oublier rapidement ce qui ne va pas et devrait nous servir de leçon une fois pour toutes, mais non, on foncera toujours et pour toujours la tête baissée, les yeux fermés sur notre destinée à vivre égoïstement notre époque en se disant que les autres feront comme nous, ils se débrouilleront des problèmes laissés,…!
2030, ainsi vont le Monde et notre Planète Terre qui s’étouffe jour après jour toujours un peu plus malgré un fléchissement depuis 2020 et du marasme économique de l’époque qui a privé la Planète de ses incertitudes,… que sera 2040?
Tout n’est pas dit… bonne décennie à tous.
Claude-André Depallens,
Nyonnais et Combier de cœur