Stabilisation des primes maladie 2020… deux semaines avant les élections? Une mauvaise plaisanterie!
La politique ne consisterait donc pas à résoudre les problèmes, mais à faire taire ceux qui les posent, les promesses n’engageant que ceux qui les écoutent?
L’examen factuel des votes des sortants sur les 54 objets cruciaux pour l’environnement montre, sans l’ombre d’un doute, qu’au Conseil National le PLR à toujours défendu prioritairement les intérêts particuliers des milieux économiques; il n’a défendu l’environnement que dans à peine un cinquième des cas!
Quant à l’UDC, le parti s’est prononcé dans quasi tous les cas contre l’environnement -ce thème lui serait-il à ce point… «étranger»?
Pourquoi ces deux partis votent-ils ainsi? C’est hélas très simple: la majorité de leurs élus sont «partis prenants»: ils détiennent de juteux mandats auprès des banques. Auprès des caisses-maladie; ainsi le Groupe Mutuel a reconnu cofinancer entre autres la campagne de quinze candidats. Auprès de l’agro-alimentaire: voyez les édifiants «Temps Présent» des 6 sept. 2018, «Attention, ce Parlement peut nuire à votre santé», et du 26 sept. 2019, «Santé suisse, qui veut gagner des millions?».
Notre principale richesse, notre priorité absolue, ce sont nos jeunes. Nos enfants et petits-enfants ne méritent-ils pas un environnement aussi sain que possible?
Alors que la maison brûle, nous citoyennes et citoyens, pouvons encore éteindre l’incendie. Votons! Et choisissons des représentant(e)s qui défendent réellement la nature et qui offrent ainsi à nos jeunes un avenir plus ensoleillé…
C’est notre responsabilité, et la plus belle façon de les aimer. Merci d’avance, merci la Vie!
Frank Paillard, (grand-père),
Les Charbonnières
Devant l’ampleur du désastre, ce n’est certes pas se battre contre des moulins à vent que de s’évertuer à maîtriser le sinistre!
« La jeunesse n’est pas une période de la vie; elle est un état d’esprit, une question de volonté, une qualité de l’imagination, une vigueur des émotions, la fraîcheur de la source de vie, une victoire du courage sur la timidité, du goût de l’aventure sur l’amour du confort. On ne devient pas vieux pour avoir vécu un certain nombre d’années; on devient vieux parce qu’on a déserté son idéal. »
Gén. Douglas MacArthur (d’après le poème de Samuel Ullman, « YOUTH »