Le grand débat national observé chez nos voisins, n’est-il pas le signe éclatant, que l’on peut donner la parole au peuple, tout en lui faisant savoir -dans un élan démocratique de circonstance- que le gouvernement ne reviendra pas sur les décisions antérieures? Celle de la suppression de l’impôt sur la fortune par exemple, comme la loi obligeant l’état d’emprunter auprès des grandes banques privées, d’où des intérêts faisant ainsi exploser la dette publique. Sans compter l’engagement dans des conflits militaires inutiles, représentant des dépenses qui se chiffrent aussi en milliards.
Toutes des questions posées dans le cadre de ce grand théâtre d’enfumage, questions auxquelles on répond pendant de longues heures, ce qui est une façon évidente de noyer les éléments essentiels des revendications proposées. Un large débat que nous pourrions définir en deux mots: causez toujours!…
L’observateur,
A.dé