La rédactionMonsieur Antonio Da Costa Macedo
Existe-t-il des mots pour évoquer ce que l’on ressent quand la séparation est si brutale?
On a même de la peine à croire l’impossible, à admettre la situation et la douleur submerge l’incompréhension.
Antonio est arrivé à la SEVJ le 1er novembre 2012. Il a rejoint ses frères, tous électriciens de réseau, comme leur papa. Je ne sais même pas si tous avaient eu le choix de leur métier. Mais qu’importe, ils ont le travail en eux. Courageux et forts, ils ne comptent pas leur peine et ils se réalisent à travers leur travail. Ce dernier leur donne la légitimité des professionnels.
Antonio, vous nous manquez déjà. Je ne vous ai jamais entendu vous plaindre ou maugréer contre la vie.
Celle-ci, vous l’avez croquée à pleines dents et vous nous avez donné vos plus belles années en la partageant avec vos amis et collègues de travail. Tous vous aimaient et vous respectaient. Vous laissez un grand vide derrière vous.
Vous êtes parti comme vous viviez, toujours actif et généreux dans vos actions. Vous nous laissez bien seuls et sans
voix devant cette séparation subite.
A toute votre famille vont notre reconnaissance et notre amitié dans ces moments douloureux et pénibles. Toute la SEVJ est à vos côtés et pense à vous.
Merci Antonio!
Alain Bourqui
Directeur général
