On pourrait s’éterniser avec les arguments pour ou contre dans le différend israélo-palestinien.
Plusieurs points sont à relever:
D’une manière générale, les gens ne se soucient pas vraiment du sort des Arabes dits «Palestiniens».
C’est – surtout – contre Israël qu’ils se positionnent, qu’il s’agisse de la flotille, de la guerre du Liban et même, sans aucun doute, beaucoup trouveraient des arguments en faveur de Daech s’ils en venaient à combattre Israël.
Le dénominateur commun de ceux qui critiquent ce qui est pourtant la seule démocratie du Proche-Orient est le rejet de la Bible, de Dieu (et, corollaire, de Son peuple) au profit d’un humanisme apparemment plus fréquentable et légitime.
Il a fallu quelques dizaines d’années pour qu’on en vienne à considérer l’impiété qui sévit en Occident comme la valeur-étalon de toutes choses.
Avec tout le respect dû à ceux qui souffrent de cécité, est-il vraiment sage de demander à un aveugle le chemin à emprunter?
Michel Nowak
Echallens